Kenel de Requin
Les 25 raisons de voter non à l’initiative « Halte aux privilèges fiscaux des millionnaires (abolition des forfaits fiscaux) »
Mis en ligne le 19.11.2014 à 09:29
© Keystone
Philippe Kenel
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Voter oui = offrir un tremplin à la gauche pour les élections fédérales de 2015
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Voter oui = ouvrir la porte à toute sorte d’initiatives dirigées contre les classes moyennes et supérieures
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Voter oui = déstabiliser le système fiscal suisse
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Voter oui = ouvrir la voie à la suppression des déductions fiscales
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L’impôt d’après la dépense est un excellent outil de promotion économique
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En réformant l’impôt à forfait en 2012, le parlement a déjà voté le contre-projet à l’initiative
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L’impôt d’après la dépense correspond aux exigences du fédéralisme helvétique
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L’impôt à forfait équilibre la concurrence entre les cantons suisses
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L’impôt d’après la dépense n’est pas contraire au principe de l’égalité et au paiement de l’impôt en fonction de la capacité contributive du contribuable
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Ni l’UE, ni l’OCDE ne demandent à la Suisse de supprimer cette forme d’imposition
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Voter oui = se priver de plus d’un milliard d’impôts
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Les forfaitaires ne paient pas que des impôts en Suisse
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Voter oui = se priver de 1,4 milliard de dépenses faites par les forfaitaires en Suisse
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Voter oui = se priver de plus de 22'000 poste de travail
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Voter oui = pénaliser le monde culturel et associatif
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Voter oui = péjorer encore un peu plus la situation des banques
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L’impôt d’après la dépense rapporte beaucoup et coûte peu
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L’impôt à forfait garantit des revenus fixes aux collectivités publiques
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Voter oui = créer l’exode des personnes étrangères fortunées et stopper leur installation en Suisse
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La Suisse doit conserver le peu de conditions-cadres favorables qui lui reste
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La Suisse est entourée d’Etats qui tentent également d’attirer des personnes fortunées
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Les problèmes sont dans les Etats que les contribuables fortunés quittent et non pas en Suisse
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Sans l’impôt d’après la dépense, la Suisse n’est pas attractive
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Les règles applicables à l’impôt d’après la dépense sont claires et publiques
- Les forfaitaires ne contribuent pas à l’augmentation du prix de l’immobilier
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